Consommation collaborative et économie du partage ne sont pas des épiphénomènes. Ils commencent à peser lourd dans l’économie, selon une étude du cabinet OC&C.
« Une nouvelle culture, nourrie à la fois par des facteurs sociétaux – envie de partage et d’alternative communautaire, préférence pour l’usage plutôt que la possession, sensibilité au développement durable -, économiques – coût moindre, compléments de revenus, valorisation d’actifs dormants – et technologiques – instantanéité, mobilité, mise en contact, paiements sécurisés-. »