« Ca faisait un moment que j’y réfléchissais ». Si Patrice Quéméneur s’entraide avec son frère, installé à proximité, et peut compter sur un coup de main de son père au moment des pointes de travail, se retrouver seul au quotidien sur l’exploitation commence à lui peser. Avec 38 ha de SAU et une cinquantaine de laitières, pas question d’embaucher à plein temps pour faire face à la surcharge de travail : c’est d’un appoint de main d’oeuvre dont il a besoin. Lire la suite.