DC Pilot renforce son vivier de compétences en Alsace !
Pour une direction commerciale à temps partagé qui s’adapte à vos besoins et projets Episode 1
Cela fait presque 15 ans que Benoît Frey, ardent défenseur de sa région de cœur a développé son concept de proposer une expertise opérationnelle en « sur mesure » aux entreprises du territoire. Une petite décennie plus tard, DC Pilot est présent en Suisse, en Bretagne, à La Guadeloupe où à Marseille entre autres…Le fondateur n’en oublie pas pour autant ses premières amours et conforte la pertinence de son dispositif avec l’intégration de Philippe Gasser sur le pôle Alsace
« Un des avantages d’être avec DC Pilot, c’est qu’on dispose de méthodes, d’outils construits, très bien structurés et développés sur plusieurs années. J’ai trouvé directement à portée de main tout ce qu’il me fallait pour lancer mon projet ».
Philippe Gasser en mission pour EvadéSens, Laboratoire de soins visage et corps formulés à partir d’actifs naturels rares.
Philippe Gasser, DC Pilot
PTP : Connaissiez-vous le Portail du temps partagé ?
PG : « Benoît nous a bien présenté le concept ! En même temps, c’est un partenaire historique : ceci explique cela ! Mais personnellement je ne connaissais pas grand chose au travail à temps partagé (je n’en avais entendu parler que très vaguement jusque là). Pour dire vrai, je ne pensais pas que cette façon de fonctionner professionnellement puisse être compatible avec des postes de direction. En mars de l’année dernière j’ai entendu parler du travail à temps partager au détour d’une conversation. Je m’y suis intéressé, ai fait une recherche sur le web : « direction commerciale en temps partagé » et je suis tombé sur DC Pilot. C’est aussi simple que ça ! Nous avons échangé avec Benoît en visio, puis nous nous sommes rencontrés ».
PTP : Racontez-nous votre parcours professionnel ?
PG : « Ça commence en Alsace. Je suis natif d’un petit village à la bordure de La Lorraine, ça marque ! J’ai fait mes études à l’IECS, école de Management réputée à Strasbourg appelée aujourd’hui l’EM. Suite à ça, j’ai commencé une très longue carrière commerciale et marketing ».
PTP : Ça ressemble à quoi une très longue carrière ?
PG : « J’ai débuté ma vie professionnelle en 1987 et elle est toujours en cours… J’ai toujours été intéressé par la mécanique avec une prédilection pour la métallurgie. Cette appétence pour les produits à caractère techniques ne s’est d’ailleurs jamais démentie ! La bulle d’innovation que représentait à ce moment l’industrie dans le Massif Vosgien a contribué à conforter mes aspirations. D’abord responsable Export pour des élévateurs automobiles durant 7 ans, j’ai très vite exercé dans un contexte international en lien avec l’Allemagne notamment bien sûr, tout en fréquentant les marchés asiatiques par exemple. Suite à la restructuration interne de l’entreprise conjuguée à la naissance de ma fille, j’ai eu envie de changer d’horizon. Après un passage d’un peu moins de deux ans dans une TPE spécialisée dans le chauffage par air chaud, j’ai intégré en 1998 une entreprise que tout le monde connaît : « Caddie », terme devenu générique pour les chariots de supermarchés (L’entreprise familiale a été crée en 1928). J’y ai œuvré de nombreuses années à divers postes commerciaux et marketing, durant lesquelles l’enseigne a réamorcé une stratégie d’innovation. Alors même que l’entreprise était en proie à des difficultés financières une opportunité venue du réseau amical sur une création de poste s’est présentée. Il s’agissait d’une grosse ETI allemande qui propose des agencements de magasins. Nous sommes en 2012, j’ai rencontré le dirigeant de cette société le jour même où Caddie, 6 mois après mon départ était mise en redressement judiciaire ainsi que je l’avais anticipé. Tout s’est enchaîné facilement, mais les années COVID ont rebattu les cartes de l’organigramme du fait notamment de la fragilité de la branche quincaillerie (50% de pertes !). Et même si la filiale française dont j’avais la direction commerciale et opérationnelle résistait, j’ai senti à 56 ans qu’il me fallait opérer une nouvelle transition professionnelle.
J’avais déjà pensé à l’entreprenariat, au travers de ma passion pour la photographie et aussi de mon goût à transmettre via la formation. Je souhaitais me positionner autrement, j’ai creusé le temps partagé… »
PTP : Quel est votre ressenti sur cette façon d’exercer le métier autrement ?
PG : « En parlant avec Benoît sur la façon de travailler, j’ai ressenti que ça me correspondait et que ça répondait à un projet de vie. Mon épouse a un an de moins que moi, elle va devoir travailler néanmoins un peu plus longtemps que moi. Mon statut de salarié allemand (je suis dans une tranche d’âge qui me permet d’accéder à la retraite à taux plein à 65 ans) me confère des droits dans les 2 pays. Travailler en temps partagé s’est avéré être la solution pour me projeter durablement sur la dernière ligne droite de mon parcours, en cohérence avec celui de ma femme.
Grâce à DC Pilot, j’ai travaillé un réseau (le mien était à peu près partout mais pas en Alsace), c’est indispensable. Depuis février j’interviens pour Evadésens, une PME qui a beaucoup de besoins au niveau de sa stratégie commerciale. Je m’aperçois que même si cette petite entreprise de cosmétique n’a rien à voir avec l’industrie métallurgique, les leviers de croissance restent les mêmes car ils participent d’un même questionnement, d’une même analyse, d’une même approche.
La dirigeante Sarah Marbach souhaitait structurer et piloter son équipe, mais n’avait pas le temps ni les moyens nécessaires à y consacrer. Lorsque je lui ai présenté le dispositif du temps partagé, elle a immédiatement compris que c’était une alternative. Elle y a vu et confirmé depuis la possibilité d’un fonctionnement sur le long terme ».
A suivre prochainement dans un 2ème épisode le témoignage de Sarah Marbach « Le temps partagé c’est tout simplement une chance pour les sociétés comme les nôtres. »