Le «job sharing» est toujours plus répandu, chez les femmes notamment. Encore faut-il trouver la bonne personne avec qui partager un emploi. Les deux femmes se font face dans un bar de Zurich. Elles ont sept minutes pour apprendre à se connaître. «Speed dating»? Non, «Speed networking». Ces deux postulantes veulent voir si elles peuvent en effet se partager un emploi au mieux de leurs intérêts, explique le Tages-Anzeiger dans son édition du 27 mars.
La tendance du «job sharing» concerne toujours plus de femmes. Elles ont une famille et veulent travailler à temps partiel. Ou bien, elles visent un emploi de cadres, mais pas seule.