Au stade où la start-up accélère sa croissance, la formule permet de s’entourer d’expertises de haut niveau sans se ruiner.
Marketing, commercial, finance, RH, informatique … en phase d’amorçage, le dirigeant de start-up est sur tous les fronts. Au mieux, il se partage les tâches avec un ou deux associés. Mais dès que l’entreprise doit accélérer et grossir, difficile d’être partout efficace. Embaucher un DAF ou un directeur marketing ? Souvent trop cher et surtout, une jeune pousse n’a pas besoin d’avoir un manager de ce calibre à plein temps. Et si intégrer un directeur à temps partagé était une solution ? Bien que cette formule reste assez peu pratiquée par les start-up françaises, elle mérite qu’on s’y attarde.
En quoi ça consiste ?