13.996 emplois non créés ou détruits: telle est à ce jour, selon le compteur de la CGPME, la conséquence de l’application au 1er juillet de la règle obligeant les entreprises à recruter leurs salariés à temps partiel pour une durée minimale de 24 heures par semaine. Mais l’hémorragie pourrait s’atténuer.